Les Bases
La sexualité fait partie de nos grandes fonctions vitales, au même titre que notre instinct à boire, manger, dormir ou respirer.
En revanche, il peut renforcer des questionnements insolubles menant vers des croyances dysfonctionnelles, c’est à dire peu adaptées à la réalité.
Le combat contre certaines idées reçues permet bien souvent de mieux savoir-être dans sa sexualité.

L’anatomie sexuelle féminine
– les organes externes et
– les organes internes.
On retrouve ainsi:
. le vagin.
. l’utérus.
. les trompes de Fallope.
. les ovaires.
L’anatomie sexuelle masculine
. les glandes de Cowper.
. la prostate.
. les vésicules séminales.
. les canaux déférents.
. l’épididyme.
. les testicules.


Le fonctionnement sexuel
Lors des échanges sexuels, nous réagissons de tout notre être. Il y a donc des manifestations concrètes, objectives, et d’autres subjectives:
– les réactions corporelles objectives sont perceptibles en réaction à une stimulation captée par le cerveau : le ou la partenaire est perçu(e) par la voix, la vue, l’odorat ou le toucher, ce qui enclenche la phase d’excitation sexuelle. Celle-ci est transmise par la mobilisation de nerfs, de vaisseaux, d’hormones et de neurotransmetteurs. Si l’excitation se maintient, les zones érogènes se modifient (lubrification, dilatation, tonicité).
– les réactions subjectives (désir, attachement, a priori favorable, fantasmes), quant à elles, permettent une meilleure réceptivité, au niveau de la peau, des zones érogènes, et contribuent à l’amplification des stimulations perçues ainsi que du vécu.